Le tubage de votre conduit peut effectivement s’avérer nécessaire, afin de le remettre aux normes. Ainsi, avant d’entreprendre votre ramonage de cheminée, il est important de connaître quelles sont les spécificités d’un tel dispositif. Vous trouverez les points essentiels à retenir à ce sujet dans cette rubrique. Par la suite, vous découvrirez le principe à appliquer pour l’entretien de ce système de chauffage, à l’instar des obligations légales à respecter ou les précautions à prendre. Dans cette optique, faire appel à un ramoneur expérimenté vous permettra de bénéficier des meilleurs conseils à suivre.
Spécificités
Le tubage est une pratique essentielle pour remettre en marche un conduit existant qui a été désaffecté. Cette démarche est notamment possible si vous souhaitez apporter des modifications sur l’emploi de votre dispositif en raccordant par exemple une chaudière ou un foyer fermé. En fait, cette technique a pour objectif de :
- renforcer l’étanchéité aux gaz de combustion de votre canal,
- optimiser le tirage de votre appareil.
Ainsi, il assure la protection de votre paroi existant du bistrage laissé par l’encrassement goudronneux qui n’a pas pu être délogé lors du ramonage. Autrement, il est également utile pour apporter une réduction au niveau d’une section d’évacuation trop large. À ce titre, l’implantation d’un insert dans une ancienne cheminée, disposant d’une vaste dimension, illustre parfaitement cette situation.
Dans certaines circonstances, cette intervention devient aussi obligatoire, lorsque les cas suivants se présentent :
- inexistence d’un débouché suffisant dans la pièce avec un dépassement sous le plafond de 5 centimètres au minimum.
- Incapacité d’effectuer un raccordement au niveau de l’insert ou du poêle à bois.
Principes
Dans la pratique, le fait de ramoner votre cheminée vous permet de bénéficier d’un bon nombre d’avantages, tels que :
- amélioration de son rendement
- réalisation en économies d’énergie,
- réduction d’un risque de surconsommation.
Autrement, cette opération reste obligatoire à l’échelle nationale, étant donné qu’elle est prescrite par :
- arrêté municipal,
- ou décret préfectoral (règlements sanitaires départementaux).
De ce fait, en fonction de votre localisation, un à deux entretiens périodiques sont imposés pour les appareils à combustion. Dans la même optique, un conduit tubé est soumis à des astreintes identiques qu’il soit destiné pour desservir un système de chauffage au bois ou au charbon.
Pour ce faire, il est recommandé d’utiliser un hérisson en nylon, car les parois métalliques restent sensibles au risque de corrosion. Vous pouvez planifier ce chantier avant la saison de chauffe (au printemps ou en automne) et réitérer les travaux une seconde fois pendant période hivernale. En complément, un débistrage tous les 10 ans est fortement conseillé pour enlever les dépôts de goudron et de suie récalcitrants. Il s’agit effectivement d’une substance dure et épaisse susceptible de favoriser le départ de feu dans votre canal.
Bref, que votre conduit soit tubé ou non, vous avez toujours les mêmes obligations en termes de ramonage de cheminée. Pareillement, faire appel à un ramoneur expérimenté comme sur ce site : https://www.ramoneur-yvelines.fr reste une étape incontournable pour éviter d’éventuelles sanctions grâce à l’obtention d’un certificat valable. Il vous suffit de vous renseigner auprès de votre administration locale pour connaître les règles de base. Autrement, des précautions spécifiques sont de mise pour préserver le bon fonctionnement de votre dispositif.